« Au début, on embarque dans l’inconnu et c’est compliqué. Malgré le fait que je travaille dans un laboratoire, tout était nouveau », raconte Myriam, qui a fait deux tentatives infructueuses à la Clinique Procrea avant de concevoir un enfant avec la Clinique OVO. « Ça prend une sensibilité particulière, ajoute-t-elle. Le personnel côtoie des femmes infertiles qui ne savent pas si elles seront mamans un jour. »
Le contexte dans lequel ont lieu les procédures de procréation assistée est en effet délicat. Le Collège des médecins du Québec a d’ailleurs publié un guide d’exercice contenant un chapitre entier sur l’importance du consentement en procréation assistée. On y mentionne dès le départ que les personnes qui présentent des problèmes d’infertilité sont en droit d’être informées adéquatement, compte tenu des impacts que ces procédures peuvent avoir sur le couple et sur chacun des partenaires.
Pour en savoir plus, je vous invite à consulter mon texte LE CONSENTEMENT DE LA PROCRÉATION ASSISTÉE.